M. Shibuya travaille dans l'entreprise depuis cinq ans, affiche d'excellentes performances et est très bien noté au sein de l'entreprise. Alors que le projet dont il était responsable était un succès et qu'il pensait être sur le point d'être promu, on lui a dit lors d'un entretien qu'un subordonné l'avait accusé de harcèlement de pouvoir. Mon patron m'a dit que si je déménageais temporairement dans un autre département, il me ramènerait plus tard dans mon département d'origine, ce que j'ai accepté. Alors qu'il écoutait les explications et signait les documents, il s'est soudainement senti somnolent et s'est évanoui... Quand Shibuya se réveille, son patron fait un cunnilingus entre ses jambes pour une raison quelconque ! ? En fait, ce qu'elle a signé était un contrat dans lequel elle acceptait de devenir une « employée du contrat sexuel » qui gérerait ses désirs sexuels selon les instructions de son patron ! J'ai mis ma bite dans la bouche où elle criait des injures à son subordonné, et j'ai crémé sa chatte effrontée sans permission ! Les employés qui harcèlent le pouvoir seront correctement rééduqués ! Le contrat ne peut pas être rompu, le contrat d’une travailleuse du sexe est absolu !